Les managers performants et à l'aise dans leurs baskets.

Un manager, aussi talentueux soit-il, a toujours, ponctuellement ou structurellement, des trous dans sa raquette.
Même les plus brillants sont confrontés à des situations malaisantes. Les capacités à déléguer, à insuffler un esprit d'équipe, à motiver et être motivé, à communiquer efficacement, à organiser et s'organiser, le leadership, la confiance en soi, sont autant de sujets-clés pour être plus performant.
Il y a toujours des espaces pour progresser.

Les 100 premiers jours sont déterminants pour faire ses preuves et ce ne sont pas les moments de solitude ou les erreurs qui manquent.
Composer avec une nouvelle équipe, cerner les enjeux, se positionner n'est pas si simple ! L'observation est essentielle; et pourtant il est indispensable d'être opérationnel dès le premier jour.
La valeur ajoutée d'une tierce personne, le coach, dans un moment où tous les regards, en interne, sont portés sur soi, est considérable.

Faire face à un sentiment de harcèlement, vivre une forte baisse de motivation personnelle ou dans son équipe, gérer un retour dans l'entreprise après une absence ou encore la maladie d'un collaborateur, prendre en compte la diversité dans son équipe, sont autant de situations qui ont un impact fort sur le bien-être dans l'exercice de ses fonctions. Et le bien-être est rarement accessoire quand on a une position aussi centrale que manager; la performance n'est jamais très loin.

A quoi reconnaît-on une bonne entreprise ? A la façon dont elle vous accueille ?
Oui, cela compte énormément et avoir un coach est très apprécié par les nouveaux entrants. Mais de plus en plus de collaborateurs et d'observateurs ont tendance à penser que c'est aussi à la façon dont elle vous quitte. L’empreinte laissée par le collaborateur sur ses équipes est forte et surtout, dans un contexte de recrutement tendu, le manager parti peut être ou non un bon messager de votre marque employeur.